Dans l’éclat des cieux et le fracas du destin, une mélodie éternelle surgit, telle une lueur dans l’obscurité. Elle est l’œuvre d’un homme qui, après des années de labeur et de souffrance, a offert au monde un chant d’espoir : Beethoven, porteur d’un rêve d’unité, nous lègue une symphonie où résonne la promesse d’un avenir plus lumineux.

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Et soudain, le baryton se lève, comme un prophète du renouveau, et nous exhorte à changer de tonalité, à embrasser une harmonie nouvelle, tissée de joie, de fraternité et de paix ! « Freunde, nicht diese Töne ! » lance-t-il dans l’éther.

Alors, s’élève un chœur, puissant et vibrant, qui entonne ces mots immortels : Alle Menschen werden Brüder – « Tous les hommes deviennent frères ». Dans cette clameur universelle, un serment est scellé, un appel lancé : celui de la concorde, de la solidarité, de l’humanité rassemblée sous la bannière d’un même idéal.​​​​